jeudi 3 novembre 2016

Les magnifiques murales trompe l'œil du centre-ville de Sherbrooke

Ce billet - mon avant dernier sur ma visite à Sherbrooke - pourrait se passer de commentaires tant les photos parlent d'elles-mêmes... Je vais donc être bref dans mes interventions.

Vous me savez amateur d'art urbain et de murales en particulier... Celles aperçues à Sherbrooke ont ceci de spécial: la plupart sont des œuvres en trompe l'œil... J'en ai donc retenu quelques-unes pour ce billet, comme celle ci-haut, au bout de la rue Wellington, et sur laquelle les fins observateurs verront un héron.

Ces étagères de bibliothèque sont particulièrement spectaculaire, non? (Rue Frontenac).

Un détail du centre de l'étagère du bas issu de la murale de la photo précédente.

Autre détail de la même murale: la toute petite partie en bas à droite... C'est définitivement un travail de minutie!

Sur la rue Dufferin, coin Frontenac, non loin du bout de Wellington, cette splendide œuvre chorale historique.

Détail du bas d'un des immeubles illustré sur la murale de la photo précédente.

Autre détail de la même œuvre, on noteras les soucis du détail, justement, avec le chat, la corde à linge et les arbres intégrés dans la perspective d'entre deux édifices en trompe l'œil.

Partie d'un ensemble que je ne suis pas arrivé à photographier à ma satisfaction (un mélange d'angle, de trafic sur la rue, de mauvais éclairage et de lumière à contre-jour), j'ai capté cette amusante portion, ou le regard est attiré sur le garçon et son chien récalcitrant... Alors que l'on ne voit le chat qu'après coup.

Au croisement de la rue King et la rue Bowen sud, on retrouve un impressionnant dyptique, et on excusera l'éclairage d'une visite en fin d'après-midi d'automne dans un secteur à l'ombre. Autres murales chorale aux scènes et personnages historiques représentant deux époque sur différentes de la ville, les œuvres se retrouve de plus dans un parc brillamment aménagé pour l'occasion.

Détail d'une des murales de la photo précédente.

Autre détail, de l'autre murale.

Encore une fois, on notera la minutie de l'exécution et des petits détails comme la présence subtile du chat et de l'oiseau.

Le parc est aménagé de telle sorte qu'il permet de poursuivre la perspective en dehors du dessin en trompe l'œil, une opportunité de photo que je n'allais pas rater!
--
Enfin, j'ai pu admirer quelques autres murales en ville, qui n'étaient pas des trompe l'œil, j'en ai capté plusieurs avec mon objectif, mais j'ai décidé de concentrer ce billet sur le spectacle spécifique des trompe l'œil de Sherbrooke. Notez qu'il y en a d'autres que celles-ci, dont une avec des personnages contemporains comme Jim Corcoran et Jean-Luc Mongrain (aucune bonne photo disponible)... J'ai aussi vu une carte en fin de journée, mais trop tard pour aller toutes les voir, mais cette découverte justifiait déjà un éventuel retour à Sherbrooke pour les admirer.
--

2 commentaires:

  1. Daniel Sernine3:16 PM

    C'est fabuleux!
    Celle avec le héron compte aussi un hibou.
    Et celle de la bibliothèque...! Est-ce qu'on peut lire le poème dans le livre aux pages ouvertes?

    RépondreSupprimer

L'Esprit Vagabond vous remercie de vous identifier (ou signer votre commentaire). Assumez vos opinions!
L'Esprit Vagabond est un blogue privé et ne publie pas de commentaires anonymes.